02-07-2016, 01:39
(Modification du message : 01-08-2016, 15:11 par JacqueMechos.)
Jacques Méchos, c'est comme ça qu'il s'appelle désormais. Même s'il n'aurait jamais du car il s'est toujours opposé au mariage de ses parents. La haine grandit en lui depuis ce jour mais il sait la contrôler. A l'âge de ses 13 ans, son professeur dans une école plutôt luxueuse qui ne lui plaisait pourtant pas répétait tout le temps " Euh... EH ! On va s'calmer là !" d'une façon... Bizarre. Cela marqua Jacques pour toute sa vie. Depuis il a cette citation en "tic" de langage.
A ses 15 ans, ses parents sont morts lors de leur lune de miel pour leurs 10 ans de mariage. La haine en lui se calma alors mais, trois années plus tard, il apprit d'un détective très réputé en commençant ses études de droit constitutionnel que son père avait tué sa mère avant de se suicider. Cela ne lui fit ni chaud ni froid. Jacques, déterminé, finit ses études de droit et sortit avec un doctorat.
Et là, c'est le drame. Malgré la création de son cabinet d'avocat, jamais il ne fut suffisamment de bénéfice. Il finit à la rue. Il mendiait, mendiait, ne s'arrêtait plus de mendier.
Jusqu'à un jour où un policier lui donna l'occasion de se racheter en lui donnant des sushis au saumon et de quoi se loger.
Il continue à avoir des accès de rage meme aujourd'hui, du haut de ses 28 ans, si on lui parle de sa mère.
En son cœur restera toujours la cicatrice qu'eut laissé le mariage puis le meurtre de ses parents. Jamais il ne pourra l'oublier.
A ses 15 ans, ses parents sont morts lors de leur lune de miel pour leurs 10 ans de mariage. La haine en lui se calma alors mais, trois années plus tard, il apprit d'un détective très réputé en commençant ses études de droit constitutionnel que son père avait tué sa mère avant de se suicider. Cela ne lui fit ni chaud ni froid. Jacques, déterminé, finit ses études de droit et sortit avec un doctorat.
Et là, c'est le drame. Malgré la création de son cabinet d'avocat, jamais il ne fut suffisamment de bénéfice. Il finit à la rue. Il mendiait, mendiait, ne s'arrêtait plus de mendier.
Jusqu'à un jour où un policier lui donna l'occasion de se racheter en lui donnant des sushis au saumon et de quoi se loger.
Il continue à avoir des accès de rage meme aujourd'hui, du haut de ses 28 ans, si on lui parle de sa mère.
En son cœur restera toujours la cicatrice qu'eut laissé le mariage puis le meurtre de ses parents. Jamais il ne pourra l'oublier.